Un jour, Pascal Coulon se trouvait avec sa harpe vénézuélienne à Mikonos. Près des moulins, il est allé jouer face au vent. De longues plaintes, d’une légèreté incroyable, sortirent naturellement de l’instrument. Le harpiste n’eut plus qu’à appliquer ses doigts sur ce fond sonore irréel pour extraire de son instrument une musique mémorable. Ce moment exquis … Lire la suite